Ce pays du nord-ouest de l'Afrique a subi samedi soir le pire tremblement de terre depuis des décennies. Le pays a été durement touché. Le sud-ouest du Maroc a été frappé par un séisme d'une magnitude de 6,8 vendredi soir à 23h11. L'épicentre se trouvait à 70 kilomètres au sud-ouest de Marrakech, d ... Ce pays du nord-ouest de l'Afrique a subi samedi soir le pire tremblement de terre depuis des décennies. Le pays a été durement touché. Le sud-ouest du Maroc a été frappé par un séisme d'une magnitude de 6,8 vendredi soir à 23h11. L'épicentre se trouvait à 70 kilomètres au sud-ouest de Marrakech, dans les montagnes de l'Atlas. Les équipes de sauvetage sont confrontées à des défis majeurs. Certaines zones touchées sont éloignées et difficiles d’accès. Selon l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), plus de 300 000 personnes sont touchées par cette terrible catastrophe. Dimanche matin, une nouvelle réplique a secoué la région et fait d'autres morts. Selon les experts, les tremblements de terre de cette ampleur sont rares au Maroc. Il règne une grande panique et une grande peur parmi les habitants de la région touchée. Beaucoup ont dû quitter leur domicile et cherchent désor-mais protection dans la rue. Ces personnes sinistrées ont maintenant besoin d’un toit. Une équipe de ShelterBox International est en route vers la zone de crise pour évaluer la situation et vérifier les préparatifs appropriés pour le déploiement des secours de ShelterBox. Des milliers de familles touchées ont besoin maintenant de notre soutien. Ils ont besoin notamment d’hébergements d’urgence. S'il vous plaît, aidez-nous à répondre aujourd’hui et demain,avec des moyens adaptés aux besoins qui peuvent être utilisés de manière efficace, judicieuse et efficiente ! Compte de don: ShelterBox Suisse, 1031 Mex VDIBAN CH69 0483 5147 5313 2100 0 ShelterBox Suisse vous remercie pour votre soutien !
À une époque où la numérisation bouleverse notre quotidien et où de plus en plus de personnes s'informent via des smartphones, des tablettes et des ordinateurs, il peut sembler étrange à première vue de défendre un magazine mensuel du Rotary en Suisse et au Liechtenstein sous forme papier. Mais le ... À une époque où la numérisation bouleverse notre quotidien et où de plus en plus de personnes s'informent via des smartphones, des tablettes et des ordinateurs, il peut sembler étrange à première vue de défendre un magazine mensuel du Rotary en Suisse et au Liechtenstein sous forme papier. Mais le magazine imprimé du Rotary est bien plus qu'une relique nostalgique des temps passés - c'est un rempart contre la surabondance de stimuli, une oasis de décélération et un monument au pouvoir des mots imprimés. Alors que le flot d'informations numériques ne cesse de croître autour de nous et que notre cerveau est sans cesse confronté à de nouvelles impressions, le magazine imprimé représente une sorte de contrepoids. Le toucher du papier, l'odeur des pages fraîchement imprimées et le bruissement des pages que l'on tourne - toutes ces expériences sensorielles nous captivent et confèrent à la lecture une profondeur particulière. Elles nous rappellent que la vie a plus à offrir que la disponibilité constante et la distraction permanente. La décélération, une chance pour le repos mental Le monde numérique présente sans aucun doute de nombreux avantages, mais il comporte également le risque de nous perdre dans le tourbillon du rythme effréné. Le magazine mensuel sur papier nous permet au contraire de sortir de ce tourbillon et de laisser notre esprit se reposer. Il nous invite à prendre consciemment du temps pour nous-mêmes, à nous plonger avec loisir et soin dans le monde des mots imprimés. Nous pouvons ainsi nous concentrer entièrement sur les contenus qui nous inspirent et nous motivent, sans être constamment distraits par des notifications et des messages push. L'appréciation de l'imprimé comme expression de la qualité Le magazine imprimé n'est pas seulement une expérience esthétique, il signale également une appréciation particulière des contenus et des opinions. A une époque où tout le monde peut publier sur Internet, l'imprimé est synonyme de qualité, de soin et de durabilité. Il nous rappelle que les articles bien documentés et élaborés ont une valeur particulière - une valeur qui mérite d'être fixée sur papier et d'être honorée. Un magazine papier est un trésor à l'ère du numérique, qui nous invite à faire une pause, à ralentir et à nous abandonner entièrement au pouvoir des mots imprimés. Symbole de qualité, de tradition et de constance, il nous inspire, nous motive et nous rappelle que la véritable sagesse ne se trouve pas dans l'éphémère du numérique, mais dans la profondeur de l'imprimé. Un autre aspect qu'il ne faut pas oublier de mentionner est l'esthétique qui se dégage d'un tel magazine. Voir le magazine posé sur la table, dans son papier noble, avec une couverture colorée, confère une certaine élégance à la pièce et invite à s'installer et à se plonger dans un monde d'inspiration. S'asseoir, feuilleter, s'émerveiller et lire de nouvelles perspectives est un baume pour l'homme et l'âme. Le texte imprimé offre une forme de contemplation et de plaisir qui est devenue rare à l'ère du numérique. Permettez-moi donc de vous présenter un spot publicitaire pour le magazine : "Un magazine imprimé est comme une délicieuse praline dans un monde de produits de masse. Il nous incite à nous arrêter, à nous concentrer sur le moment présent et à savourer pleinement le doux arôme des mots imprimés. Honorons cette praline et réjouissons-nous en, car elle est la clé d'une vie épanouie et ralentie dans un monde de plus en plus agité". Un autre aspect, même s'il n'est pas aussi sérieux, qui parle en faveur du magazine imprimé est sa polyvalence dans les situations quotidiennes. Qui n'a jamais été confronté à une mouche agaçante qui bourdonne dans tous les sens et perturbe le calme et la détente. Le magazine ne remplit pas seulement son rôle de source d'inspiration et de moyen de décélération, il prouve également sa polyvalence dans des situations quotidiennes, comme la rencontre avec une mouche importune - tant que nous agissons toujours avec respect et attention envers notre environnement et ses habitants. Avec des salutations humoristiques et une pincée de sagesse du monde de l'imprimé PDG Daniel Marbot
Enfin, avoir de la chance quand l'ascenseur de carrière monte. Avoir la main heureuse en matière d'actions ne serait pas mal non plus. Et bien sûr, de la chance en amour, pour que la bonne personne entre dans la vie. Nous aimons tous avoir de la chance dans la vie, mieux vaut en avoir plus que moin ... Enfin, avoir de la chance quand l'ascenseur de carrière monte. Avoir la main heureuse en matière d'actions ne serait pas mal non plus. Et bien sûr, de la chance en amour, pour que la bonne personne entre dans la vie. Nous aimons tous avoir de la chance dans la vie, mieux vaut en avoir plus que moins. Mais ceux qui cherchent dans la philosophie des conseils sur la manière d'aider la chance ont, à première vue, surtout une chose : la malchance. Les philosophes, semble-t-il, n'ont pas la chance de leur côté. Le premier philosophe du monde occidental, Thalès de Milet, était déjà un véritable malchanceux. Lors d'une promenade, il aurait fixé le ciel, perdu dans ses pensées. Il n'a pas vu une fosse et y est tombé lamentablement. C'est justement une servante qui a assisté à la mésaventure. Monsieur le philosophe se croit certes particulièrement intelligent parce qu'il réfléchit à des choses célestes compliquées. Mais il est manifestement incapable de faire attention au chemin qui passe devant ses pieds, commenta-t-elle. Quelle honte pour un homme qui se considérait comme l'un des plus instruits de son temps. Les grands philosophes après Thalès comme Platon, Aristote ou les stoïciens sont ensuite tous d'accord pour dire qu'il vaut mieux ne pas faire dépendre son bonheur de la chance. Selon Aristote, pour être heureux dans la vie, il faut que notre vie soit réussie dans son ensemble. Son conseil : nous devrions toujours faire ce que nous pensons être bon et juste en fonction des circonstances, que ces circonstances soient heureuses ou non. Car celui qui lie le bonheur de sa vie à des circonstances extérieures heureuses en fait le jouet du hasard. Et cela, selon Aristote, personne ne peut vraiment le souhaiter sérieusement. Le sage est celui qui apprend des erreurs des autres et qui écoute les bons conseils. Il en va de même ici : En y regardant de plus près, la mésaventure de Thalès et le conseil d'Aristote fournissent deux clés précieuses pour avoir de la chance dans la vie. La recherche moderne sur le bonheur nous aide à découvrir la première clé. C'est là que le terme anglais "serendipity" a été inventé pour désigner une attitude face à la vie qui permet aux gens de reconnaître les coïncidences heureuses. Le mot remonte à un ancien conte persan sur les trois princes de Serendip, l'actuel Sri Lanka. Les trois princes ont toutes sortes d'aventures à vivre et résolvent même les tâches les plus difficiles. Comment y parviennent-ils ? Ils sont éveillés et attentifs à toutes les situations et à tous les défis. Ils sont "mindful" dans le meilleur sens du terme, présents d'esprit, et ouverts au monde et à toutes ses possibilités imprévisibles. Et ils n'obstruent pas leur regard sur eux-mêmes et sur le monde par des ruminations improductives, des images de soi exagérées et des attentes trop étroites. C'est ainsi qu'ils parviennent toujours à saisir des occasions favorables inattendues et à les utiliser rapidement à leur avantage. Le malchanceux Thalès, quant à lui, est prisonnier de ses pensées et de ses idées ambitieuses. Il est tellement absent de son attention qu'il ne voit même pas la fosse à ses pieds. Comment un tel homme peut-il reconnaître les occasions favorables dans la vie ? La chance dans la vie ne dépend donc pas uniquement du hasard. Une condition préalable décisive est que nous soyons en mesure de reconnaître les opportunités heureuses. Mais comment savoir si une opportunité qui se présente est vraiment heureuse pour nous ? Il y a l'exemple alarmant des gagnants du loto qui dépensent leurs millions et se retrouvent ensuite plus pauvres et plus malades qu'avant. Ils le montrent : Un prétendu coup de chance peut rendre la vie d'une personne profondément malheureuse. Dans l'accompagnement de jeunes cadres, je constate souvent à quel point la distinction peut être exigeante : Soudain, l'offre d'un chasseur de têtes pour la direction d'une entreprise renommée est sur la table. Les pairs, l'ego flatté et, surtout, le chasseur de têtes disent : LA chance. Mais sera-t-on vraiment heureux dans la nouvelle entreprise ? Dans ce nouveau rôle ? Avec nettement moins de temps pour les enfants et, en fin de compte, pour soi-même ? C'est précisément là qu'intervient le conseil d'Aristote comme deuxième clé philosophique pour "avoir de la chance" : Lorsque nous prenons des décisions importantes, et en particulier des choix de vie, nous devrions toujours nous orienter vers ce qui fait que notre vie dans son ensemble est une réussite. Une fois que nous avons pris conscience de cela, nous devrions faire ce que nous pensons être bon et juste au mieux de nos connaissances. Les critères de ce qui est bon pour nous ne sont donc pas fournis par le prétendu hasard heureux ni par les opinions des autres. Il n'y a pas non plus d'algorithme d'intelligence artificielle en vue. C'est à nous de jouer : qu'est-ce qui me fait vraiment plaisir ? Même s'il y a des moments où tout ne tourne pas rond. Qu'est-ce qui me tient vraiment à cœur et où mon désir m'entraîne-t-il ? De quel environnement ai-je besoin pour pouvoir développer mon potentiel ? Quels sont les défis que je souhaite relever pour grandir en tant qu'être humain à part entière ? Toutefois, celui qui ne commence à s'interroger sur lui-même qu'en situation de décision sera souvent trop lent et trop timide et verra passer devant lui de nombreuses opportunités non saisies. Avoir le sens de la cohérence et de l'incohérence dans sa propre vie, afin de pouvoir se fier à son intuition, est nettement plus utile dans une situation concrète et surtout plus rapide. Et cela peut s'apprendre. C'est ce que confirme désormais la psychologie de la personnalité. D'ailleurs, Thalès ne voulait pas se laisser reprocher que la philosophie était une entreprise totalement éloignée de la vie. C'est par hasard, en observant le ciel, qu'il aurait découvert une constellation d'astres qui permettait de prédire le rendement de la récolte d'olives. Lorsque la constellation fut particulièrement favorable, il loua, bien avant tout le monde et pour une somme modique, tous les pressoirs à olives de la région. Et voilà : cette année-là, la récolte a été abondante. Très abondante même. Thalès pouvait quasiment faire payer n'importe quel prix pour l'utilisation des presses. Le vieil affameur nageait soudain dans l'argent. Et ses contemporains n'en revenaient pas. Comment le philosophe pouvait-il avoir autant d'argent ? Lorsqu'on lui demanda ce qu'il comptait faire de sa richesse, il aurait répondu en substance : "Qu'est-ce que tout cet argent m'apporte ? Ce qui m'intéresse, c'est la philosophie. Quand je philosophe, je suis heureux. Mais les philosophes aussi peuvent avoir de la chance et devenir riches - s'ils le veulent seulement". Version française : xxxxxx (Lien à suivre) Texte : Johannes Lober est cofondateur et directeur de l'Institut pour la philosophie et le leadership à Munich. Cette entreprise à but non lucratif propose des formations continues, des conseils et des retraites aux personnes occupant des postes de direction élevés ainsi qu'aux familles d'entrepreneurs. L'accent est mis sur les questions personnelles et existentielles du leadership. Parmi les clients de l'institut figurent les cadres supérieurs de BMW AG et du groupe Volkswagen, mais aussi des entreprises de taille moyenne comme HIPP ou le groupe Remmers. Plus d'informations sur : leadershipinstitut.de Photo : iStock Johannes Lober est cofondateur et directeur de l'Institut pour la philosophie et le leadership à Munich. Cette entreprise à but non lucratif propose des formations continues, des conseils et des retraites aux personnes occupant des postes de direction élevés ainsi qu'aux familles d'entrepreneurs. L'accent est mis sur les questions personnelles et existentielles du leadership. Parmi les clients de l'institut figurent les cadres supérieurs de BMW AG et du groupe Volkswagen, mais aussi des entreprises de taille moyenne comme HIPP ou le groupe Remmers. Plus d'informations sur : leadershipinstitut.de Photo : iStock
En 2016, le Rotary International a assoupli le régime strict de présence en vigueur pendant des décennies. Les clubs ont été autorisés à adopter leurs propres règles. Quelques incertitudes subsistent. Une mise à jour. Lors de sa session 2016, le Conseil de législation du Rotary International a adop ... En 2016, le Rotary International a assoupli le régime strict de présence en vigueur pendant des décennies. Les clubs ont été autorisés à adopter leurs propres règles. Quelques incertitudes subsistent. Une mise à jour. Lors de sa session 2016, le Conseil de législation du Rotary International a adopté une nouvelle directive presque révolutionnaire concernant les règles de présence des Rotariens. "Les clubs peuvent assouplir ou resserrer leurs règles d'assiduité et d'exclusion (en cas d'assiduité insuffisante) comme ils le souhaitent. Ils doivent cependant continuer à envoyer des rapports d'assiduité au gouverneur. Les clubs sont libres de continuer à se conformer aux règles traditionnelles". C'est ainsi que le siège social a rendu compte des décisions de la CoL dans l'édition allemande de son résumé. Dans la version anglaise, il manque le mot "arbitraire". La même année, l'assemblée constituante du R.I. a décidé d'une autre innovation : "Les clubs peuvent modifier, déplacer ou annuler leurs réunions à condition de se réunir au moins deux fois par mois. Mais les clubs sont également libres de continuer à suivre les règles traditionnelles en matière de réunions et d'annulation". Cette décision rompt avec la périodicité hebdomadaire qui prévalait jusqu'alors. LA DÉFINITION DES PRÉSENCES L'obligation d'envoyer des rapports de présence mensuels au district a été supprimée par le CoL 2022. Probablement aussi parce qu'aucun dirigeant ne s'est jamais intéressé à cette paperasserie. Ce qui n'a pas changé, c'est l'obligation pour chaque Rotary club d'établir des statistiques sur l'assiduité de ses membres. Comme chacun le sait, le Rotary Suisse/Liechtenstein propose aux clubs un outil éprouvé, Polaris, qui permet d'enregistrer et d'évaluer les présences sans que cela n'entraîne une charge administrative excessive. Selon le Rotary, une présence est définie comme la participation à des réunions régulières ("soit en personne, soit par téléphone, soit par connexion Internet") de son propre club ou de clubs satellites. Les crédits de présence peuvent également être obtenus en participant à des projets de club ou à d'autres manifestations et activités pendant au moins douze heures ou en remplissant une combinaison proportionnelle des deux. En complément, il a été décidé lors du CdL 2019 que les membres qui n'ont pas pu assister à la réunion de leur club peuvent rattraper leur participation au cours de la même année rotarienne. La règle dite des 85 ans est toujours en vigueur. Elle stipule que "les Rotariens peuvent être dispensés des obligations d'assiduité s'ils ont au moins 20 ans d'ancienneté au Rotary et si le nombre d'années d'appartenance plus l'âge est d'au moins 85 ans". Il a été précisé à ce sujet lors de la CoL 2022 que ce type de dispense d'assiduité ne nécessite pas l'accord du comité du club. Il suffit que le membre concerné informe le secrétaire du club d'un tel souhait. VALEURS INDICATIVES DU ROTARY INTERNATIONAL Jusque-là, tout va bien. Les clubs seraient donc autorisés à décider eux-mêmes de la manière dont ils veulent gérer l'obligation de présence de leurs membres. L'accent est mis sur "serait", d'autant plus que le Rotary International, via les "statuts types du Rotary club", s'en tient toujours à des pourcentages. "Au moins 60 pour cent", écrit le Rotary International à l'article 10, paragraphe 1, section a, "au moins 50 pour cent" à l'article 13, paragraphe 4, section a, chiffre 1 et "au moins 30 pour cent" au chiffre 2. Ces approches divergentes méritent d'être expliquées. Au bureau Europe/Afrique du Rotary à Zurich, Stephanie Theobald est une interlocutrice compétente et prévenante, y compris pour les districts et les clubs de Suisse et du Liechtenstein. Elle confirme que le Conseil de législation 2016 a accordé une grande flexibilité aux clubs. La décision prise à l'époque n'a toutefois pas eu pour conséquence que les statuts uniformes des clubs ne contiennent plus de directives en matière de présence. Dans sa réponse à nos questions, elle fait référence au nouveau paragraphe 7 "Exceptions" qui a été ajouté à l'article 10 en 2016 : "Les statuts [des clubs] peuvent contenir des dispositions qui ne sont pas conformes à l'article 10". De la même manière, le paragraphe c a été ajouté à l'article 13, paragraphe 4 : "Le règlement intérieur peut contenir des dispositions qui ne sont pas conformes à l'article 13, paragraphe 4". "Les pourcentages mentionnés se réfèrent à deux aspects différents", explique Stephanie Theobald. Pour les 60 points de pourcentage, il s'agit de savoir combien de temps il faut être présent à une réunion pour obtenir une présence officielle. L'article 13 définit le nombre de réunions de club suivies par semestre (au moins 50 pour cent en général et au moins 30 pour cent des réunions de son propre club). Tous ces chiffres sont indicatifs et peuvent être adaptés par le club. UN RÈGLEMENT COMME MOYEN PRATIQUE Les "statuts types du Rotary club" devraient être allégés. Les quinze pages A4 de ce règlement contiennent trop de paragraphes, parfois très pointus. On peut se demander s'il est opportun de les adapter à l'identique dans les statuts des clubs. Le Code civil suisse (CC) énumère aux articles 60 à 79 ce qui doit impérativement figurer dans les statuts d'une association. Les Rotary clubs peuvent certes consacrer un capital spécifique aux obligations de présence de leurs membres dans les statuts, mais il serait plus pratique de les décrire dans un règlement séparé. Il est bien connu que les modifications des statuts nécessitent une majorité des deux tiers, les règlements peuvent être corrigés à la majorité simple des votants. Le Rotary International considère que les passages des statuts de club qui ne sont pas conformes aux documents statutaires ne sont pas contraignants. " Les directives des statuts types du club prévalent sur celles des statuts du club ". C'est pourquoi le Rotary recommande aux clubs de mentionner les directives des statuts types du club comme faisant partie intégrante des statuts du club. Il faudrait évaluer en fonction de la situation quel droit - les normes d'un mouvement de service mondial ou le droit suisse - a la priorité en cas de litige. Le recours aux tribunaux au lieu de trouver un accord à l'amiable serait toutefois en contradiction flagrante avec les pratiques rotariennes. L'ancien directeur du R.I. Urs Klemm (RC Aarau) appelle à ne pas sous-estimer l'importance d'une référence croisée aux statuts types du Rotary club. Sans cette référence, les statuts du club risquent de ne plus correspondre aux règles du Rotary International, en particulier s'ils ont été révisés dans le cadre d'une convention de coopération. Dans le cadre d'un procès civil, cela pourrait conduire à ce que les dispositions des statuts uniformes du club ne soient pas reconnues. Cela s'est par exemple produit en Allemagne dans le cadre d'une procédure d'exclusion dont l'issue a eu des conséquences désagréables pour les responsables du club. ATTENTION AU PIÈGE DE LA LANGUE Dans ce contexte, une remarque s'impose : la traduction des actes du R.I. incite à des interprétations différentes. La version allemande des statuts types en est un exemple. Parmi les dispositions générales sur la présence, l'article 10, paragraphe 1, stipule que " chaque membre doit assister aux réunions statutaires de ce club ou à celles du club satellite et participer aux actions et autres manifestations et activités de ce club ". Le PDG Rocco Olgiati, délégué CoL du district 1980, avocat et membre du RC Lugano-Lago, a comparé différentes versions linguistiques. Dans la version anglaise, le terme correspondant est "should", dans la version italienne "deve", dans la version française "doit", dans la version espagnole "déberan". Devrait ou doit ? L'anglais est la langue officielle du Council on Legislation. Le Rotary International insiste sur le fait que c'est ce qui est publié dans les documents en anglais qui fait foi. Le Rotary considère que les mots "should" et "must" sont équivalents et que la traduction de "should" par "devrait" n'est pas adéquate dans ce contexte. LE DROIT DE PRÉSENCE PLUTÔT QUE L'OBLIGATION DE PRÉSENCE En devenant membre d'un Rotary club, chaque membre s'est déclaré prêt à accepter des obligations, à s'identifier aux valeurs rotariennes, à participer à des actions, à assumer des charges. Les Rotariens bénéficient également de privilèges proportionnels à leur engagement personnel. Ils ont par exemple accès à un vaste réseau social et professionnel que seul un club service peut offrir. Ils sont également légitimés à participer aux réunions des clubs, des districts et du Rotary International partout dans le monde, à entretenir des contacts avec des personnes d'autres cultures, régions linguistiques et générations et à élargir ainsi leur horizon. Dans ce sens, le terme "droit de présence" s'avère être un non-sens. Le mot "droit de présence" devrait être significativement plus important. Un droit que l'on ne revendique jamais assez. L'expérience montre malheureusement le contraire : beaucoup d'entre nous n'ont pas le courage de voir plus loin que le bout de leur nez, de franchir les frontières de leur club. C'est regrettable. Lorsque dans un club, le thème des présences devient récurrent, ce n'est pas un signe de force mais de faiblesse. "Les réunions sont l'occasion pour les membres de se rencontrer amicalement, de parler des choses à faire, de se former grâce à des exposés stimulants et d'échanger des idées sur l'action humanitaire", écrit le Rotary sur son site Internet rotary.org. La présence personnelle est nécessaire pour favoriser l'amitié. Comme le disait l'inoubliable PDG Carlo Michelotti du RC Bellinzona, décédé en 2019, "on ne peut pas nouer une amitié avec une chaise vide".
Le 1er septembre 2023, la nouvelle loi sur la protection des données (LPD) est entré en vigueur, ce qui entraînera les changements importants suivants pour les entreprises et autres organisations de droit privé (y compris les associations): 1. Seules les données des personnes physiques sont dorénav ... Le 1er septembre 2023, la nouvelle loi sur la protection des données (LPD) est entré en vigueur, ce qui entraînera les changements importants suivants pour les entreprises et autres organisations de droit privé (y compris les associations): 1. Seules les données des personnes physiques sont dorénavant couvertes, et non plus celles des personnes morales. 2. Les données génétiques et biométriques (art. 5 lit. c LPD) entrent dans la définition des données sensibles. 3. Les principes de "Privacy by Design" et de "Privacy by Default" (art. 7 LPD) sont introduits. Comme son noml’indique, le principe de "Privacy by Design" (protection des données dès la conception) implique, pour les développeurs,d’intégrer la protection et le respect de la vie privé des utilisateurs dans la structure même du produit ou du service amené à collecter des données personnelles. Le principe de "Privacy by Default" (protection des données par défaut) assure quant à lui le niveau de sécurité le plus élevé dès la mise en circulation du produit ou du service, en activant par défaut, c’est-à-diresans aucune intervention des utilisateurs, toutes les mesures nécessaires à la protection des données et à la limitation de leurutilisation. Autrement dit, tous les logiciels, le matériel et les services doivent être configurés de manière à protéger lesdonnées et à respecter la vie privée des utilisateurs. POLARIS est configuré de manière à pouvoir respecter ces principes. 4. Des analyses d’impacts (art. 22 LPD) doivent être effectuées par le responsable du traitement, c'est- à-dire la personne qui, seule ou avec d'autres, décide des finalités et des moyens d'un traitement de données, dans la mesure où, par exemple, desdonnées personnelles sont traitées lors de l'utilisation de nouveaux processus ou de nouvelles technologies et où il existe un risque élevé pour la personnalité ou les droits fondamentaux des personnes concernées. Du point de vue des clubs, il n'est pas nécessaire d'agir dans ce domaine. 5. Le devoir d’informer est étendu (art. 19 LPD): lors de chaque collecte de données personnelles - et non plus seulement de données dites sensibles - la personne concernée doit être informée au préalable. Au Rotary, les nouveaux membres sont informés de manière appropriée sur l'enregistrement de leurs données personnelles dans POLARIS, en particulier à travers ladéclaration de protection des données accessible sur rotary.ch ou à travers le site Internet du club. 6. La tenue d’un registre des activités de traitement devient obligatoire (art. 12 LPD) : L'ordonnance d’application prévoittoutefois une exception pour les entreprises et autres organisations de droit privé qui emploient moins de 250 personnes etdont le traitement des données n'entraîne qu'un faible risque d'atteinte à la personnalité des personnes concernées. Enconséquence, les Rotary Clubs CH/FL n'ont en général pas l'obligation d'établir un tel registre. 7. Une annonce rapide est requise (art. 24 LPD) en cas de violation de la sécurité des données entraînant un risque élevépour la personnalité ou les droits fondamentaux de la personne concernée. Elle doit être adressée au Préposé fédéral à laprotection des données et à la transparence (PFPDT). Pour les clubs individuels, il est recommandé, en cas de violationprésumée ou effective de la sécurité des données ("data leak"), que le CICO prenne immédiatement contact avec le DICO, quicoordonnera alors les autres mesures (y compris celle d'une annonce au PFPDT (le PFPDT a mis en ligne une plateforme d'annonce correspondante) avec l'équipe POLARIS. 8. La notion de profilage (art. 5 let. f LPD) ; le traitement automatisé de données à caractère personnel) a été introduit dans la loi. Un tel traitement automatisé des données n'a pas lieu dans le cadre de POLARIS. 9. Les dispositions pénales ont été renforcées (art. 60 et suivants LPD) : en particulier, la violation du devoir d'information ou de diligence (p. ex. en relation avec la communication de données personnelles à l'étranger, le recours à des sous-traitants ou les questions de sécurité des données) peut entraîner une amende pouvant aller jusqu'à CHF 250'000 (la violationdes principes de protection des données n'est en revanche pas punissable). C'est la personne physique qui a commis laviolation qui est punie. Pour le reste, les principes de protection des données ont été repris tels quels et la LPD ne prévoit que des adaptations mineuresconcernant les thèmes de la communication de données à l'étranger, de l'implication de sous-traitants et des droits des personnes concernées. Contrairement au RGPD de l'UE, la LPD ne prévoit pas la fonction de délégué à la protection des données (DPO). Que signifie la nouvelle LPD en particulier pour l'utilisation des données des membres sur POLARIS ? Comme indiqué dans la déclaration de protection des données (https://polaris.rotary.ch/de/privacy-policy), chaque district/club Rotary est responsable dutraitement des données personnelles dans le cadre de sa propre zone d'accès à POLARIS et détermine quelles données personnelles sont collectées. Lors du développement de POLARIS, le VRM a pris des mesures techniques (p. ex. limitation de l'accès, sauvegarde des données, etc.) et organisationnelles (p. ex. instructions aux administrateurs, accords de confidentialité, monitoring, etc.) appropriées afin de garantir la sécurité des données collectées et traitées et de les protéger contre tout accès non autorisé, abus, perte, falsification ou destruction. L'accès aux données n'est autorisé qu'aux personnes (par ex. CICO/DICO) qui en ont besoin pour l'accomplissement de leurs tâches. Si vous avez des questions concernant la protection des données, nous vous prions de transmettre votre demande au service central suivant: dataprotection@rotary.ch Télécharger cette lettre au format PDF
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14 nov. 2023
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21 nov. 2023
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23 nov. 2023
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12 déc. 2023
13 déc. 2023
14 déc. 2023
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23 mars 2024
Distriktanlass Frühling 2024 - LUGANO
2 avr. 2024
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29 juin 2024
Le premier Rotary club a été créé à Chicago le 23 février 1905. A la fin de la Première Guerre mondiale, il y avait déjà 500 clubs Rotary dans le monde ; en 1921, il y en avait déjà 1000 autour du globe. Les premiers clubs avaient également été fondés en Europe, par exemple à Madrid et à Paris. Au siège du Rotary à Evanston, le désir de fonder un club en Europe germanophone se fait de plus en plus pressant, ce qui se produit finalement à Zurich en 1924. En 1925, d'autres clubs suivirent à Bâle, Berne, Genève, Lucerne et Saint-Gall. Le premier club de la Principauté du Liechtenstein a été fondé en 1957.
Aujourd'hui le Rotary compte en Suisse et au Liechtenstein plus de 13'250 membres répartis dans plus de 220 clubs, organisés en trois districts (1980, 1990, 2000). A la tête de chaque district se trouve un gouverneur élu pour une année.
District 1990 - Suisse de l'ouestDistrict 1980 - Suisse centraleDistrict 2000 - Est de la Suisse et Liechtenstein
Rotary: Qui sommes-nous?
Le Rotary mobilise ses membres dans des domaines d'action ciblés. Cela nous permet de mettre en commun nos connaissances, notre expérience et nos ressources afin de trouver des solutions durables - dans le monde entier. Les sept axes stratégiques du Rotary sont
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