Chère rotarienne, cher rotarien,
En ce début d’année 2022, nous avons – comme chaque année – pris de bonnes résolutions. Bouger plus ou encore passer moins de temps devant l’écran sont certes de bonnes résolutions qu’il convient d’appliquer. Et pourtant, une relative léthargie persiste. La pandémie ne nous lâche pas quoique la situation soit tout autre qu’il y a deux ans en arrière.
Oui, nombreux sont ceux qui souffrent des conséquences de la crise. Ils ont besoin d’aide et de soutien. Certains ont accepté la situation et ne sont pas mécontents d’être moins actifs. Nous, en tant que rotariens, nous devrions montrer l’exemple. La vie continue, et nous devons contribuer activement à forger notre avenir. Sur le plan personnel, professionnel et d’intérêt général, il faut trouver un bon équilibre. Nous devons donc sortir de notre zone de bien-être et aller de l’avant.
Le club rotarien offre de nombreuses opportunités de servir la cause commune aussi bien en Suisse que dans le monde. L’hiver dernier, les clubs ont mis sur pied de formidables actions, distribué des colis de solidarité, fait des collectes et ont participé aux actions internationales de dons. En été et cet automne, tous les clubs ont pu fêter avec grand plaisir les retrouvailles et ont élaboré des programmes intéressants. Nous voulons profiter de cet élan productif durant ce deuxième semestre. Pourquoi ne pas se lancer dans quelque chose de nouveau – une action qui serait perçue par le grand public et dont on parlerait ? Les jeunes rotariens sont particulièrement concernés : ils fourniront sûrement des idées innovantes. Avec ou sans pandémie, les clubs rotariens auront toujours assez d’occasions pour alléger la souffrance ou même en faire fi.
Nous devons sortir de notre zone de confort et ne pas nous reposer sur nos lauriers. Il y a beaucoup à faire. Mettons-nous au travail !
DG Ursula Schoepfer